Tourist information
Changing money
The monetary unit of Tunisia is the dinar (TND), which is divided
into 1000 millimes.
50,-,20,-,10,- and 5,-dinars notes and 5, - and 1, - dinar coins as
well as 500,-, 100,-, 50,-, 20,-, 10,- and 5,- millimes coins are in
circulation.
A Tunisian Dinar (TND) is approximately 0,339
Euro or 0,417 US$. The TND is not convertible abroad so be
sure to change only what you need. All foreign currency or
traveler's cheque can be converted into dinars. The dinar is
available from banks, money changers and hotels during the day.
There are cash machines almost everywhere, where withdrawals can be
made using Visa or MasterCard. Credit cards (American Express,
Dinners Club, MasterCard or Visa) are accepted by all tourist
establishments as well as many shops and restaurants. You can also
re-exchange, when leaving Tunisia (at the airport), the dinars that
you would not have spent, on presentation of Exchange receipts. So
keep them in that event.
Important links
Below are links to several important links with information pertaining to visiting Tunisia and the visas and permits required:
Tunis en quelques
mots Tunis, Carthage,
Sidi Bou Said, La marsa, souks et musées... sont autant
d'endroits magiques à découvrir. Tunis El Médina
Se suffisant à
elle même, la ville abrite demeures, palais, cimetières,
mausolées, hammams, écoles, medersas, fours, entrepôts,
échoppes d'artisans, places et jardins. Placée sous la
protection de son saint patron Sidi Mahrez, couronnée de
blanches coupoles, de terrasses et de minarets élancés, la
médina se développe en une trame serrée de constructions
assemblées en grappes et parcourues par un dense réseau de
rues, ruelles et impasses. L'ensemble du plan de la cité
obéit à la règle de préservation de l'espace intime Haram et
la séparation entre quartiers résidentiels et d'activité
commerçante. Ainsi, le quartier commerçant initial s'est
installé autour de la mosquée, formant un quadrilatère où
sont rassemblés -comme autant d'alvéoles d'une ruche- les
corps de métiers nobles : libraires, parfumeurs, soyeux,
fabricants de chéchias, brodeurs, tailleurs, bijoutiers,
celliers, épiceries fines, la hiérarchie des corporations
repoussant les métiers plus bruyants ou polluants vers la
périphérie de la cité. Corps vivant, la médina conserve son
mystère et son charme indéfinissable, tout en sachant se
faire accueillante.
3- Musée du
Bardo Le Bardo est
aujourd'hui l'un des plus importants musées au monde. Sa
réputation tient à la qualité et à la variété de ses pièces
archéologiques, joyaux issus d'une histoire tunisienne riche
de plusieurs millénaires et de plusieurs civilisations.
Cependant, le bâtiment, lui aussi, ne manque pas d'intérêt.
Construit dans la deuxième moitié du XIXe siècle, cet espace
devait répondre à une destination palatiale plutôt qu'à une
fonction culturelle; cependant, devenu musée en 1882,
baptisé de ce fait musée Alaoui -du nom du souverain de
l'époque, Ali Bey (1882-1902)-, il connut une heureuse
transgression d'usage qui en fit un haut lieu de culture et
de civilisation. En 1899, les autorités de l'époque lui
adjoignirent un second espace, le petit palais qui désormais
allait abriter les collections d'art islamique. De par leur
qualité architecturale, ces deux palais sont aujourd'hui
partie intégrante du musée national.
la
salle de réception avec sa grande coupole à seize pans en
bois découpé et peint de couleurs chatoyantes sur fonds
d'or;
le
grand patio couvert et son plafond d'où pendent quatre
lustres accrochés à des pendentifs revêtus d' ornements
moulés en plâtre;
la
salle de musique avec son plafond décoré de motifs floraux
et avec ses deux tribunes, l'une réservée aux femmes -les
princesses-, l'autre aux musiciens ; celle-ci étant soutenue
par de fines colonnettes en marbre blanc et incrustées de
baguettes en marbre rouge;
les
appartements privés où prédomine un décor mural fait de
revêtements finement découpés dans le plâtre et présentant
des entrelacs, des méandres, des noeuds et des rinceaux,
autant de motifs réalisés d'après la technique dite « nakch
Hdida »;
les
panneaux de faïence qui couvrent différents murs, véritables
tableaux admirablement exécutés...
Voici Virgile
écrivant l'Enéide ; voilà Ulysse attaché au mat du navire !
Que de rythmes, ceux du temps (les quatre saisons ou les
signes du zodiaque), ceux des hommes (scènes de la vie
quotidienne, les travaux, la chasse, les loisirs, les
combats de gladiateurs, les jeux du cirque...), ceux de la
culture !
Bien entendu, le
Bardo recèle bien d'autres collections et d'autres pièces
qui relèvent de la culture matérielle tunisienne conjuguée à
tous les temps, de la préhistoire à nos jours. Tous sont
tous les témoins d'une Tunisie plurielle, ouverte et
conciliante ! Là aussi, l'histoire s'égrène au fil des
oeuvres ; les haltes sont nombreuses depuis l'hermaïon
d'el-Guettar vieux de 40.000 ans jusqu'à la collection
ethnographique relative à la vie quotidienne dans la Tunisie
moderne ! |